SEXY PRECILLA, HONDA DIRT BOBBER

Ils ont tous compris ! Eux !

Ah bon ?


Ils ont compris quoi ?

capslock a écrit:

Ah bon ?


Ils ont compris quoi ?

T'es pas équipé pour comprendre, t'as pas "l'esprit"...

Pas de prise de tete, un bitza (et pas une HD, pourtant legion au pays de burgger) 2&3 coup de kick et gaz coulos.

Un bemole sur le roulage sans casque, je sui spas sur que je pourrais passer la cap mmem si on avait le droit...

Booz => je sais pas si tu es ironique ou serieux, mais pour ma part je suis pas du genre à porter pas la chemise à carreau et la barbe !!

kaneda a écrit:

Pas de prise de tete, un bitza (et pas une HD, pourtant legion au pays de burgger) 2&3 coup de kick et gaz coulos.

Un bemole sur le roulage sans casque, je sui spas sur que je pourrais passer la cap mmem si on avait le droit...

Booz => je sais pas si tu es ironique ou serieux, mais pour ma part je suis pas du genre à porter pas la chemise à carreau et la barbe !!

Te casse pas.
Ca leur plait pas, on le sait, le forum le sait, eux savent qu'on le sait et pourtant ils le disent quand même...

Des pneus cross là-dessus...n'importe quoi.


Pis l'autre pouffiasse qui roule pieds nus...no comment.









Tout ça pour faire un genre.

ça, c'est un bon trip.

bin moi j'dit

pt1 la gazière et charmante en plus

qu'est se qu'on en à foutre quelle est pas ses pompes ( tant qu'ses pas tes pannards ) et en plus elle à de jolie
pied ,
et elle grimpe pas sur n'importe quoi .

bref...............................freedom quoi

Toi t'es chaud, ça fait longtemps que t'as plus niqué ? allez, raconte-nous...

capslock a écrit:

Toi t'es chaud, ça fait longtemps que t'as plus niqué ? allez, raconte-nous...

capslock a écrit:

Toi t'es chaud, ça fait longtemps que t'as plus niqué ? allez, raconte-nous...

secrétaire de grand cru ,


j'aime quand elle marche avec ses talons aiguilles
que ses deux demies lunes valses comme les gondoles à venise
de ptits pieds sur haut talons elle déambule
telle un couché de soleil épousant les lacunes

j'aime quand elle se penche sur son bureau
relatilisant ses bonnets corsés d'amplitude
au delà de l'empleur des plots
quand elle caresse la plume

de tailleur élégant cintré
à la jupe noir serré
aux genoux de formes épousé
secrétaires de mes rèves endiablé

je devine ses dessous de bas feutré
de ptite culotte au parfum à peine arrosé
de nectars de lèvres ensorcelé
d'un entre cuisse ou j'aimerais mis glissé

au vous secrétaire de grand cru
puisse un jour vous dire à l'oreille
d'une langue élégante et jouflue
combien je rève de votre petit derrière

sur de route lointaine ,
seul dans ma couchette

Le terme baroudeur prend ici tout son sens...

Moi jdis qu'il dois y avoir de l'ambiance quand Fred arrive au Quick"Bonjour Monsieur,que désirez vous?"

Fred"J'aimerais charmante demoiselle aux yeux bleus océan,rehaussés d'une chevelure digne d'une Suédoise me rappellant la chanteuse du groupe  Abba,dont l'album compilation tourne en permanence dans mon bahut,qui lui est Français,ahh la France et son savoir faire automobile,son confort digne d'Alcatraz et son moteur fumant tel une locomotive du far west,me faisant prendre pour Charles Branson dans "Soleil rouge "avec Alain Delon et Toshiro Mifune à la recherche du sabre Impérial,le temps où il y avais encore le sens de l'honneur,j'aimerai un de vos hamburgers,nom tirer de l'Amérique qui à donner naissance à mon dieu Elvis Presley,le modèle composer de 2 tranches de pain et de fromage fabriquer par nos vaches élevées au grand air et traiter avec savoir faire afin de contenter nos papilles gustatives,et agrémenter par des feuilles de salades non industrielle,qui pousse en regardant notre ciel bleu,bleu comme dans la chanson blues suède shoes de Carl Perkins,reprise avec succès par mon idole,et ceci recouvert de tranches de tomates,tomates me donnant envie de danser sur "mange des tomates mon amour",et avec çà une petite frite qui n'en à que le nom,au vu de leur finesse,ressemblants + à des spaguetti car ma grand mère quand elle faisait des frites c'était plutôt le calibre touches de piano,le piano de Jerry Lee Lewis,alors en les dégustant j'entamais un "great balls of fire" et je terminais mon assiette debout sur la table,vous ajoutrez à çà un "coca" qui n'en a que la couleur vu qu'il est couper avec de la flotte,certainement arrivée elle aussi des alpes par lesquelles je passe de temps en temps avec mon 38 tonnes tout en klaxonnant afin de rendre hommage à ces régions,véritables poumons de notre France,et avec çà une mayonnaise de laquelle je préfère ne pas savoir comment elle fus faite.

Mademoiselle hou hou Mademoiselle

vache


blues suede shoes , c'est carl perkinks

avec une orange


la peau aussi lissi qu'une orange baignant dans un fond océan aquarelle .
sa couleur orange comme un cotail tamisé de maison close .
des ongles agrippant à l'arrachés délicate de quelque filet blanc , à la décourverte du voile transparant enfermant le nectar .

la séparation du moitié de fruit dérisable posé sur le galbe du haut d'une descente de reins au chute rondelette de fessiers ontueux , surplombant de cuisses en longues attente .

d'une main agissant comme un pressoir , elle martiryse les cartiers du fruit accessoire saignant abondamant le jus tant attendu , coulant dans la raie de toutes les convoitise , émoustillant dans son sillage la vulve qui n'en finit pas de prendre l'air , finissant sa course sous de lèvre impatiente au détour d'une langue ravageuse .
le corps de la maitresse de chambrée à quattre patte à perdu tout controle de retenue , balbuciant une poitrine dans le vide au balancement incongrues . tétons sous de tensions extrème éfleure de draps soiyeux chifonnés par se champs de bataille jubilatoire .

le corps des deux amants ont oublié le charnus du pauvre fruit et ses pépins éparpillés si et la , se retrouvant balboté aux grés des assauts .
la main féminine aux long doigts transpirant nerveusement , se jette sur le spectre , dieux totem volcanique qui n'en finit pas de braver sa semance sous de jet raleur .

un samedi matin , mr avec sa liste explissite devant un stand de fruit et légumes .
son regard à demi calculé se pose devant la ptite vendeuse oh combien ravissante vetue de sa blouse proprette cintré de formes appetissante , quand elle lui demande ,

" vous désirez " ,

un kilo d'orange svp !

2 kilos pour moi